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Les princes des ruines (Jean Bury)


Il y a deux sortes d’histoires que j’aime : celle chargée de sens et celle plus légère mais où la douceur n’a d’égal que sa poésie. Jean Bury fait partie de ces auteurs aèdes qui ont pour seule épopée celle de la candeur enfantine. Une nouvelle douce qui vous plonge dans un monde sans adulte, un huit clos aux accents de Peter Pan. Un texte empli d’une innocence précieuse où lorsque la rage fait son apparition, ce n’est que pour souligner l’incompréhension d’un monde qui change. Une mélancolie pointe alors, peut-être celle d’enfants qui grandissent et qui doivent fuir pour croire encore qu’ils échapperont au temps qui passe. Une question me traverse à la fin de la lecture : les adolescents seraient-ils des êtres nostalgiques d’un présent qui s’écoule ?

 

Bulle (Sylvain Lamur)
 

Une nouvelle Ã©trange tout comme l'univers de Sylvain Lamur. Je n'aime pas toujours mais je ne peux que reconnaitre l'originalité de ses histoires. Une nouvelle revisitant le mythe de la venue d'E.T et pour une fois, elle est digne d'un fantasme !  

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