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Deuxième personne du singulier

(Daryl Gregory)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Présentation de l'éditeur

Adolescente américaine sans histoire, Thérèse est morte voici deux d'une overdose de Z. Z comme zombie ou Z comme zen : c'est là une drogue qui fait davantage qu'altérer la conscience, en l'oblitérant. Définitivement en cas d'abus. Physiquement, Thérèse n'est pas morte. Elle n'est juste plus cette personne que les autres persistent à appeler Thérèse.

Quelque part entre le Greg Egan de « En apprenant à être moi » et le Peter Watts de Vision aveugle, « Deuxième personnel du singulier » de Daryl Gregory questionne avec finesse et humanité les notions d'identité et de conscience au regard des récentes découvertes scientifiques en neurologie.

Compte-rendu

Une écriture de qualité qui sert un texte habile. L’auteur exploite un phénomène physique et psychique pour en faire un drame familial et une histoire terrible. Une belle métaphore accompagne l’histoire pour faciliter la compréhension du mécanisme psychique. En lisant ce texte j’ai repensé à une phrase de Fight Club qui dit : peut-on se réveiller dans la peau de quelqu’un d’autre ?

Une fille très catholique a fait une overdose de drogue. Mais elle n’est pas morte, elle est simplement devenu une autre…

Une profondeur philosophique quelque peu rompue par une fin trop rapide.

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